Le voleur de mort de Tess Gerritsen
Toujours et encore Boston mais excepté le passage furtif de Maura Isles, rien à voir, dans cette histoire, avec les enquêtes de Rizzoli.
Un squelette découvert de nos jours entraine l'auteur dans le Boston de 1830 et l'univers de l'école de médecine.
Un roman très documenté sur cette époque si douloureuse pour les femmes : les mortes en couche (avant, pendant, après) par faute de connaissances médicales.
On y découvre les jeunes carabins aux prises avec une médecine balbutiante, entre espérance d'honneurs et de richesses à venir grâce au statut de médecin et horreur de dissection de corps morts et soin de vivants, à main nue et en costume.
La sœur de Rose se meurt après avoir mis au monde une petite fille. Innocente enfant autour de laquelle se trament les plus sombres desseins. La mort rode. Rose doit se battre seule et contre tous pour préserver sa seule famille, un bébé nouveau-né.
Et autour d'elles, la mort frappe à coup de lame, infirmières, médecins, ..................... tout tourne autour de l'école de médecine. Même le principal suspect, futur médecin, Norris.
Principal suspect et seul allié de Rose.
J'ai beaucoup aimé, sauf une partie de la fin........... Je n'aime pas que les auteurs tuent mes héros !!!! Mais la vie n'est pas un roman et les romans parfois nous le rappellent.